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L'enfant face aux écrans

(Article rédigé pour l'espace famille du site de l'étude Elfe)

     Les enfants sont fascinés par les écrans. Il suffit de les placer devant une télévision, un ordinateur, une tablette ou un téléphone portable pour qu’ils y restent de longues heures à passer du bon temps, en apparence peut-être. Toutes ces lumières, ces couleurs, ces mouvements, ces sons et ces images qui s’enchaînent très rapidement contribuent à capter leur regard en leur offrant un « pestacle Â» attrayant et surtout accessible directement à la maison. Mais quels effets ont les écrans sur le développement de l’enfant ?

 

Avant 7 ans, l’enfant a encore du mal à différencier le réel de l’imaginaire. Face à l’écran, il peut apprendre petit à petit à faire la part des choses. Mais attention, il n’a pas le même recul qu’un adulte et peut vite confondre réalité et virtuel. Les images violentes, qui paraissent inoffensives aux yeux des adultes, doivent donc être considérées comme un réel danger pour l’enfant.

 

Devant l’écran l’enfant paraît sage et apaisé. Seulement, lorsque l’écran est éteint, c’est l’agitation générale qui reprend le dessus. Après être restés de longues minutes calmes à s’aérer l’esprit devant l’écran, ils ont nécessairement besoin d’extérioriser et parfois de reproduire dans la vie réelle ce qu’ils ont observé dans la vie virtuelle. Mais surtout, le temps passé devant les écrans doit être considéré comme du temps en moins qui aurait pu être consacré à d’autres activités. A la place, l’enfant aurait pu partager des moments avec son entourage, lire un livre, développer sa motricité, découvrir le monde qui l’entoure (avec le toucher, les odeurs, les ressentiments et non seulement le regard et les sons) … C’est quelques fragments de ce temps précieux qui est morcelé si le temps passé devant les écrans est excessif. Alors comment se comporter face à ces écrans ?

 

Il est important d’échanger autour de ce sujet avec son enfant. Interdire l’écran n’est pas la solution miracle, mais admettre que l’enfant est né avec la technologie dans le sang est aussi une erreur. Si l’enfant apprécie de regarder la télévision ou de jouer sur la tablette, la meilleure solution reste d’encadrer ces utilisations. Il faut accompagner l’enfant dans cet usage en ayant conscience des contenus qu’il consomme. Les programmes télévisés et les jeux doivent-être adaptés en fonction de l’âge de l’enfant. Cela paraît évident mais bien souvent, lorsqu’un enfant se retrouve seul devant un écran, l’utilisation qu’il en fait nous échappe et il est facilement tenté de regarder de nouveaux contenus non appropriés pour son âge.

 

C’est donc une utilisation modérée et encadrée des écrans qu’il faut privilégier. Mais dans tous les cas, de vrais moments passés en famille restent bien plus productifs pour l’épanouissement de l’enfant.

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L'animal de compagnie, on adopte ?

(Article rédigé pour l'espace famille du site de l'étude Elfe)

     En France, un foyer sur deux possède un animal de compagnie. Ce constat nous hisse à la première place dans toute l’union Européenne (d’après une enquête commandée par la FACCO en 2012). Avec 63 millions d’animaux domestiques les français adorent partager leur quotidien avec un animal de compagnie. Par tout hasard, les enfants n’y seraient-ils pas pour quelque chose ?

 

Pour l’enfant, l’animal représente un parfait compagnon de vie. Depuis sa naissance, il les côtoie déjà sous la forme de doudous, avec le nounours que l’on retrouve très souvent par exemple. Mais arrivé à un certain âge, c’est un animal réel qu’il nous réclame, un chien ou un chat le plus souvent.

 

L’animal de compagnie représente beaucoup d’avantages pour l’enfant. Il lui permet de s’exprimer librement et d’avoir un confident. Mais ce nouveau compagnon n’obéit pas toujours aux souhaits de l’enfant et cela lui apprendra justement qu’il faut savoir être patient, que ces petits désagréments font partis de la vie. L’enfant n’a pas le même contrôle sur son animal que sur sa peluche, il s’en rendra vite compte mais n’en sera pas frustré pour autant étant donné que les émotions en sont décuplées. De plus, l’animal ne juge pas l’enfant et ce dernier en a bien conscience, il est aimé tel qu’il est et apprécie cette fidélité. C’est aussi une grande responsabilité que d’avoir à s’occuper de lui. Bien entendu certaines tâches ne pourront pas être réalisées par l’enfant mais son implication dans le développement affectif de l’animal lui sera très bénéfique. En revanche, les départs en vacances qui doivent être pensés autrement et les autres petites contraintes liées à l’adoption d’un nouvel animal peuvent vite faire déchanter certains parents.

 

Finalement un animal domestique c’est quelques sacrifices pour une chaleureuse compagnie. D’autant plus qu’il y en a pour tous les goûts : chiens, chats, poissons, rongeurs, volatiles, … Certaines familles possèdent même des méduses, des tortues ou des cochons ! Alors quand viendra le moment du « On peut avoir un animal à la maison ? Â», libre à vous de sauter le pas (ou la patte…).

 

 

A savoir : Les races de chiens préférés des français sont le berger allemand, le golden Retriever, le berger belge, le cavalier King Charles et le berger australien. Tandis que pour les chats il s’agit du chat persan, du sacré de Birmanie, du Maine Coon, du chartreux et du norvégien.

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30 minutes et l'ennui démarre

(Article rédigé pour l'espace famille du site de l'étude Elfe)

     En voiture, il suffit en moyenne de 30 minutes de trajet pour que les enfants commencent à s’ennuyer. Les cris, les pleurs, les nausées, … Mieux vaut éviter toutes ces contrariétés ! Mais sur les longs trajets de départ en vacances, difficile de ne pas perdre patience pendant plus de 3 heures ! Et la patience, on la perd autant sur la banquette avant que sur la banquette arrière. Alors pour passer un agréable trajet, chacun doit y mettre du sien.

 

Quelques solutions simples comme un livre d’activités, une console de jeux ou un lecteur DVD portable raviront les enfants. Mais malheureusement le mal des transports est très fréquent de 2 à 12 ans. Regarder un point fixe alors que la voiture freine puis accélère n’est sans doute pas la meilleure solution pour éviter les sueurs froides ainsi que les nausées. Un petit air de musique pourra au contraire détendre tous les passagers. Et pourquoi ne pas créer une petite chorale dans la voiture ? Vous n’aimez pas pousser la chansonnette ? Alors un livre audio ou tout simplement des petits jeux seront les bienvenus. Il en existe suffisamment pour en trouver un qui plaise à tout le monde : ni oui ni non, devine qui je suis, la boîte à surprises, lorsque je pars en vacances je mets dans ma valise…, la lettre cachée dans le décor, les sourires, le mot à créer, …

Les pauses permettent aussi aux enfants de se détendre et de se dégourdir les jambes. Rien de mieux pour qu’ils reviennent en ayant l’envie de faire la sieste… pendant 30 minutes encore ? Le trajet de nuit est également une très bonne alternative pour que les enfants s’endorment et ne voient pas le temps passer pendant que vous conduisez au calme. Quoi qu’il en soit, si nous devions faire le calcul, 5 longues heures de route valent mieux que 130 heures de marche ! 

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Message du jour

(Rédaction de "messages du jour" pour l'application Ding2Toi)

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Le brand content prend ses marques

(Rédaction d'une double page de journal dans le cadre d'un devoir universitaire)

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Esther Ferrer : Artiste pionnière de l’art action et de la performance

(Rédaction dans le cadre d'un devoir universitaire)

     Née en 1937 à Saint-Sébastien en Espagne, Esther Ferrer vit et travaille à Paris depuis les années 70. Suite à son arrivée sur la capitale, l’artiste se met à retravailler des photographies, à réaliser des installations et des tableaux. Depuis ses débuts, elle pratique un art social et politique sans pour autant chercher à révolutionner la société. Esther Ferrer accorde une large importance à l’idée de liberté. Cette féministe, anarchiste et citoyenne engagée reste très cohérente dans ses créations depuis maintenant 50 ans. Elle s’interroge principalement autour des notions du temps, de la répétition, de l’infini, de la présence et du corps ; un corps qu’elle utilise d’ailleurs comme outil de travail et d’expression. Esther Ferrer allie humour et absurde avec rigueur. Du haut de ses 77 ans, cette grande artiste poursuit son chemin, avec un art parfois assez violent, mais qui aura toujours le mérite d’interpeller le spectateur.

 

« Face B. Image/Autoportrait » d’Esther Ferrer

 

     L’exposition « Face B. Image/Autoportrait » d’Esther Ferrer  fait suite au premier volet de son projet, exposé l’an dernier au Frac Bretagne. Ce second volet se concentre davantage sur le travail d’atelier de l’artiste plutôt que sur la performance. L’autoportrait, qu’elle pratique depuis les années 70, est l’élément phare de l’exposition. Elle se met en scène afin de questionner le monde à travers le temps et l’espace. Le spectateur est ainsi amené à s’interroger sur le rôle du regard face à l’œuvre. C’est en nous racontant sa vie qu’Esther Ferrer souhaite engendrer une certaine prise de conscience chez le spectateur. L’Exposition monographique se tiendra au musée MAC/VAL (Musée d’Art Contemporain du Val de Marne) du 15 février au 13 juillet 2014.

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Agir contre la solitude avec La Fondation de France

(Rédaction d'un article à partir d'une photo dans le cadre d'un devoir universitaire)

     Créé en 1969, l’organisme La Fondation de France aide à concrétiser des projets qui répondent aux nouveaux besoins des citoyens face aux problèmes causés par l’évolution rapide de la société. L’organisme agit notamment contre la solitude, problème majeur qui ne cesse de s’accroître.

 

Saviez-vous qu’aujourd’hui 12 % des français souffrent de solitude ? Ce chiffre correspond à une augmentation d’un million de personnes entre 2010 et 2013. Ces résultats ne sont pas à prendre à la légère, d’autant plus que de nouveaux facteurs entrent en jeu. La pauvreté et le chômage font toujours partie des causes principales de la solitude, tout comme l’âge. Mais dorénavant, ce ne sont plus seulement les séniors qui souffrent d’isolement, il s’agit également de personnes âgées de moins de quarante ans (dont le chiffre a doublé depuis 2010) comprenant les 18-29 ans qui n’en souffraient pas antérieurement. De plus, les classes moyennes constituent désormais un nouveau facteur de solitude en France. Ce phénomène d’isolement se développe principalement dans les grandes agglomérations et métropoles face aux rapides évolutions sociétales.

 

Nous avons pour devoir d’agir contre la solitude afin que ses victimes diminuent et surtout, que leur chiffre ne progresse pas. Pour cela nous avons déjà mis en œuvre de nombreux projets qui ont fait leurs preuves, mais il est impératif de continuer ces progrès et nous encourageons toutes les initiatives visant à lutter contre la solitude.

 

Dès aujourd’hui, faites un geste : un don pour soutenir nos actions et nos projets, ou tout simplement un sourire ou une discussion avec toute personne susceptible de se sentir isoler.

 

Henri Cartier-Bresson

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5 leads à partir d'un communiqué de presse : Ouverture du secrétariat du père noël

(leads rédigés dans le cadre d'un devoir universitaire)

Journal d’information générale

  La Poste déclare officiellement ouvert son secrétariat du Père Noël jusqu’au 18 décembre 2014. Toute lettre adressée au nom du Père Noël avec les coordonnées de l’expéditeur et tout e-mail envoyé via le site web de La Poste obtiendront en retour une carte récréative avec des personnages emblématiques de Noël. De plus, jusqu’au 6 janvier 2015, La Poste propose diverses activités ludiques sur un site habillé aux couleurs de l’événement.

 

Journal économique

  Comme chaque année depuis 1962, le groupe La Poste rouvre son secrétariat du Père Noël jusqu’au 18 décembre 2014 et propose un site web ludique consacré au personnage. L’édition 2014 génère la création de 50 postes de secrétaires en Gironde. En 2013, l’opérateur a envoyé 1,3 million de cartes en réponse aux 1,4 million de lettres et 176 000 e-mails reçus. A ce jour, le Père Noël réceptionne le courrier envoyé depuis plus de 130 pays par des enfants âgés principalement de 3 à 8 ans.

 

Journal local Sud-Ouest

  La Poste ouvre le secrétariat du Père Noël en Gironde jusqu’au 18 décembre 2014. Tous les courriers adressés au Père Noël et réceptionnés dans les différents bureaux de Poste français seront acheminés au centre de Libourne. Pour assurer le bon déroulement de l’opération, La Poste a créé 50 emplois temporaires de secrétaires pour ouvrir les lettres puis mettre sous pli, adresser et affranchir le million de cartes-réponse.

 

Magazine familial

  Pour noël je voudrais… que mon enfant écrive sa première lettre ! Voilà qui tombe bien, La Poste vient d’ouvrir son secrétariat du Père Noël, et ce jusqu’au 18 décembre 2014. Saisissez l’occasion pour proposer à votre enfant d’écrire quelques mots au célèbre distributeur de cadeaux qui lui enverra en retour une jolie carte récréative. Pour cela, il lui suffira juste d’indiquer ses coordonnées et d’adresser son courrier au nom du Père Noël. Mais alors, que peut-il bien y mettre dans cette lettre ?

 

Magazine psychologies féminin

  Et si le simple fait d’exprimer un souhait suffisait à maintenir la magie de noël ? C’est en tout cas ce que nous laissent entendre les courriers reçus au secrétariat du Père Noël de La Poste en 2013. Tandis que la traditionnelle commande de cadeaux figure sur la moitié des lettres, l’autre moitié formule simplement un souhait ou une volonté. Délaisser le matériel au profit du spirituel, les enfants auraient-ils trouvé une nouvelle manière originale et économique de fêter Noël ?

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Synthèse : Les départs en province

(Synthèse d’articles réalisée dans le cadre d'un devoir universitaire)

     Depuis maintenant presque 50 ans, les départs en province n’ont eu de cesse de séduire les parisiens. Malgré l’arrivée d’un peu plus de 100 000 provinciaux par an en Ile-de-France, ce sont les départs qui y sont privilégiés. A l’occasion du salon Provemploi qui se tient chaque année en octobre à Paris, les journaux L’Express, Le Parisien Magazine ainsi que 20 minutes se sont penchés sur le sujet. L’article de L’Express, rédigé par Pierre Falga et publié le 26 septembre 2013, fait le point sur le palmarès 2013 des 50 villes où il fait bon vivre. Celui du Parisien Magazine, publié le 9 septembre 2012, s’intéresse à 3 expériences de départ en province. Tandis que l’article de 20 minutes, publié en octobre 2013 et rédigé par Jérôme Comin et Christine Laemmel, se penche sur la question des départs désillusoires. En s’appuyant sur ces 3 articles, il s’agira de s’intéresser à ces nombreux départs en province, des départs contraints ou réfléchis, sources d’un changement de vie radical qui engendre parfois des échecs.

 

Les départs en province sont aujourd’hui très nombreux. Les 3 articles font état de la même observation : chaque année, plus de 200 000 personnes quittent la région parisienne pour s’installer en province. Ces départs, à l’origine d’une « tendance des années 1970 » (source : Le Parisien Magazine) n’ont cessé de s’accroître et continueront ainsi jusqu’en 2030 si l’on en croit Antoine Colson, directeur associé de Provemploi. D’après un sondage mené par ce salon Provemploi, 54 % des habitants d’Ile-de-France envisagent de quitter cette région afin de privilégier des grandes villes de province comme Marseille, Nantes, Bordeaux, ou encore un départ à la campagne.

Le salon Provemploi, se tenant chaque année en octobre à Paris depuis 2008, permet aux parisiens et habitants d’Ile-de-France de se préparer au mieux à un éventuel départ en province. Ce salon conseille ses visiteurs sur l’emploi, les différents cadres et modes de vie provinciaux. Cette année, à partir d’un échantillon de 1500 personnes (source : L’Express), les organisateurs de Provemploi ont établi un palmarès des 50 villes où il fait bon vivre en 2013 en fonction de son âge et de sa situation personnelle. D’après ce palmarès, les jeunes doivent privilégier la destination de Toulouse, les familles seront satisfaites en déménageant à Nantes et les séniors trouveront leur bonheur à Angers.

 

Ces départs en province, contraints ou réfléchis, sont dus à plusieurs facteurs, notamment liés à l’emploi. Une grande partie des habitants d’Ile-de-France quittent leur région afin de « poursuivre une opportunité professionnelle » ou un « projet professionnel » (source : Le Parisien Magazine). La question de l’emploi est primordiale lors d’un tel déménagement. Les plus chanceux se verront proposer des destinations provinciales d’excellence avec leur nouvel emploi, tandis que les autres plus téméraires décideront de privilégier le lieu de destination sans pour autant savoir si un emploi les y attend. Ainsi, d’après le sondage 2013 de Provemploi, près de la moitié des personnes ayant déménagé en province, depuis l’an dernier, déclare ne toujours pas avoir trouvé d’emploi (source : L’Express).

Les parisiens désirent un meilleur cadre de vie. Tout cet engouement pour le départ en province est également dû à un manque d’espace qui se fait ressentir en région parisienne. Les habitants d’Ile-de-France recherchent une meilleure qualité de vie, loin du « rythme effréné » parisien comme le souligne le Parisien Magazine. Les habitants de la capitale se plaignent de la fatigue, du manque d’espace, du temps de transport à rallonge… Ils aspirent à une qualité de vie plus calme au grand air, loin de tous ces soucis et dérangements.

 

Mais ce changement de vie qui engendre quelques échecs et de mauvaises expériences. Comme nous le rapporte L’Express, la décision du départ est en général « très mûrement réfléchie », mais il arrive que cette dernière soit prise sur un coup de tête et, dans ce cas précis, l’expérience finit vite par faire déchanter les parisiens. Il faut donc « éviter de partir sur un coup de tête » (source : 20 minutes). Mais les départs qui se soldent par des échecs et des retours à la capitale s’expliquent principalement par une situation familiale instable ou un manque de liens sociaux. En effet, dans les histoires rapportées par le Parisien Magazine et 20 minutes, il apparaît clairement que les moments les plus difficiles à supporter moralement sont ceux durant lesquels la personne se retrouve seule, sans relations sociales à proximité. Ainsi « ce n’est pas fréquent » mais il arrive que certains reviennent suite à une mauvaise expérience en province (source : 20 minutes).

La région parisienne s’avère être finalement plus avantageuse. Antoine Colson rapporte dans le Parisien Magazine, d’après un sondage de 2012, que 37 % des Franciliens estiment que le lieu de vie idéal se situe en province. Ce chiffre reste assez faible bien qu’il ne soit pas insignifiant. Paris, capitale de la France et première ville touristique au monde a tout de même de quoi plaire et séduire ses habitants malgré ses defaults. C’est un point de rendez-vous international, disposant de moyens médicaux accessibles rapidement, d’une connexion internet performante, … Sans compter que l’Ile-de-France dispose du coût du travail le plus élevé en France avec 53, 70 € de l’heure (source : 20 minutes).

 

 

Le départ en province se solde finalement assez rarement par un échec. Et lorsqu’il en est question, ce n’est pas le manque d’emploi qui fait pencher la balance, mais plutôt les liens sociaux. Tous ces départs doivent donc être mûrement réfléchis, et le lieu de destination doit être étudié avec minutie afin qu’il corresponde parfaitement aux attentes de la personne, qu’elle soit jeune, sénior ou adulte avec un conjoint et des enfants à charge. Mais ces désirs d’évasion vers le grand air pourraient bientôt voir leurs destinations évoluer. S’il y a 50 ans, les parisiens aspiraient à un départ en province, il s‘avère qu’aujourd’hui, avec l’urbanisation mondiale et la proximité internationale qu’elle a engendré, de plus en plus de français désirent partir s’installer à l’étranger. Alors à quand le salon Etrangemploi ?

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